Béatrice Daubresse, jusqu’au bout de la gourmandise

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Béatrice a toujours aimé cuisiner. Son tempérament ? Toujours partante ! Alors pour elle, l’aventure de la vente à domicile est synonyme d’une réussite hors du commun commencée il y a 9 ans, puisqu’elle est devenue, sans le chercher, première conseillère Thermomix Ile-de-France, troisième en France et troisième mondiale il y a quatre ans.

Comment tout commence

Mère de quatre garçons, Béatrice ne travaille plus depuis quelques années pour se consacrer à leur éducation, faisant de nombreuses ventes privées chez elle. Cuisinière hors pair, elle s’amuse aussi à fournir des cocktails à domicile ici et là et participe à des concours cuisine sur une petite chaîne TV. Jusqu’au jour de 2008 où un vendeur Thermomix sonne à la porte de son appartement. Amatrice d’alimentation saine, elle est tout de suite emballée par le fameux robot qui fait tout. Et quand elle demande au vendeur comment faire pour se le procurer, le prix dépassant ses moyens, il lui répond : « Gagnez-le, il vous suffit de susciter 6 ventes en 2 mois ! » Or, Béatrice en fait acheter 6 en 18 jours et, les femmes continuant à l’appeler, elle décide de se lancer dans l’aventure…

« Je dis toujours que si j’ai réussi, tout le monde peut réussir. Il suffit de vouloir et de se donner les moyens. »

Les clés de la réussite

Béatrice commence avec le statut VDI (lire notre article), puis elle a de si bons résultats qu’elle prend le statut VRP plus adapté, car elle fait acheter en moyenne 10 à 15 robots par mois et depuis ces deux dernières années un par jour… Quand on lui demande les clés de son succès, elle répond qu’elle parle culinaire avant tout, est contente d’être là qu’un robot soit vendu ou non. « Je ne cherche pas à faire acheter, je suscite l’envie. On s’offre un Thermomix, on ne l’achète pas… » Les démonstrations durent environ 2 heures. Elle est appelée à les faire à toute heure, même le samedi soir ou le dimanche. Il faut donc être souple et surtout pas paresseuse (elle cite le marathon d’une semaine de la Foire de Paris). « Il n’y a pas un mois où je n’ai pas été productive depuis que j’ai commencé. » Elle envoie aussi régulièrement des recettes de son cru à son fichier de clientes afin de les fidéliser.

« Ce métier, en plus de me soutenir financièrement, m’amuse. Et puis ça me booste intellectuellement  d’être en contact avec des jeunes femmes : les autres conseillères ou bien mes clientes qui se révèlent culinairement en découvrant la cuisine au Thermomix. » 

Béatrice a refusé de devenir responsable de secteur, car ce qu’elle aime avant tout ce sont les contacts avec ses clientes, les démonstrations, les échanges de recettes. Ses bons résultats lui permettent non seulement d’arrondir très largement ses fins de mois, mais aussi de voyager car elle gagne concours et prix. Qui a dit que la gourmandise était un vilain défaut ?

Marie-Hélène Cossé
Première publication septembre 2017

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