Et si on se faisait du bien ?

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Demain, 18 septembre 2020, se tient la deuxième édition de la Journée Internationale du Pardon (JIP) créée à l’initiative d’Olivier Clerc. Des événements éclectiques fleurissent à travers le monde malgré les complications dues à la pandémie, parce que pardonner est bon pour la santé. Une étude de l’Université de Stanford  l’a prouvé : les gens qui n’arrivent pas à pardonner ont une espérance de vie plus courte et vont développer des pathologies digestives, musculaires, articulaires… La rancœur est un poison pour la santé. Pardonner, c’est un cadeau qu’on se fait. Dans « pardonner », il y a « donner », comme dans « forgive », il y a « give ». Donnons-nous de guérir notre cœur !

Agnès Brunel

Événements de la JIP
Les Cercles de pardon

Quelques clés de compréhension du pardon

– Le pardon n’est pas nécessairement religieux : on peut aussi y parvenir par diverses approches laïques ;
– Le pardon, c’est d’abord un cadeau que l’on se fait à soi-même : non seulement il guérit les blessures du cœur, nous restituant notre capacité d’aimer, il améliore nos relations (y compris à soi-même), mais il a également de nombreuses incidences bénéfiques sur la santé.
– Le pardon n’exclut pas la justice : on peut à la fois le mettre en œuvre et porter plainte si nécessaire, mais avec le cœur en paix.AdobeStock_87185757
– Les voies d’accès au pardon sont nombreuses : à chacun de nous de trouver celle qui nous convient le mieux.
Olivier Clerc, Créateur des Cercles de Pardon, Président de l’API (Association Pardon International)

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